Dans notre commune, le maire s’enorgueillit régulièrement des marges budgétaires dont nous disposons. Maizières aurait une capacité d’autofinancement significative grâce à une gestion particulièrement vertueuse…
Or, la capacité d’autofinancement de notre ville n’est rien en comparaison de la capacité d’autosatisfaction de la majorité.
Deux réflexions s’imposent :
1-notre ville à l’avantage de faire partie de l’intercommunalité la plus riche de la région ; ses dotations élevées contribuent notablement à nos « marges de manœuvre »… Il est plus facile de gérer l’abondance que la pénurie !
2-Comment se fait-il que les Maizièrois ne tirent pas plus profit de ces possibilités ? Pourquoi l’image de notre ville est-elle autant en retrait par rapport à ces fameuses « marges de manœuvre » ?
Les certitudes de la majorité se brisent souvent à l’examen des faits. Un peu comme la réforme des rythmes scolaires, présentée comme excellente, qui suscite de très nombreuses difficultés. Mais qu’importe l’avis des parents puisque la décision de l’appliquer était prise avant même la consultation des familles (dont 63% souhaitaient une entrée en vigueur en 2014).
Ces éléments parmi d’autres doivent nous inciter à faire mieux à l’avenir, avec vous.
(vivre à Maizières 114)